Conteur du patrimoine, Jean-Philippe Savignoni raconte : «Le 19 mars 1817, la nuit vient de cracher son encre dans les ruelles de Rodez. Antoine-Bernardin Fualdès sort de chez lui, un mystérieux paquet sous le bras, ses petits pas nerveux résonnent sur les pavés luisants de la Place de la Cité…..Et puis, plus rien, le corps de l'ancien procureur sera retrouvé le lendemain, égorgé dans les remous sombres de l'Aveyron, près du moulin des...
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