«Ayucalpa», les mots sonnent et cognent. Ils résonnent aussi comme si l'écho voulait remonter les couloirs de la mémoire. La force imposante du verbe de Christian da Silva, «padre poétique» et père tout court, claque jusqu'à la coda. Avec Chili et Néruda sans bémol. Mais «Das», en trois lettres, et beaucoup plus, ne s'arrête pas à ce clin d'œil filial. Il emprunte ses chemins de traverse bien à lui. D'abord, avec la sobriété cinglant la...
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